Transhumanisme et Intelligence Artificielle :
La fin de cette Humanité est déjà programmée…

« Organisons la résistance à la domination des cyborgs, avant qu’il ne soit trop tard » 
 John Connor, chef de la Résistance (Terminator)

Lorsque que l’on parle de transhumanisme, tout le monde ou presque en a entendu parler, mais personne ne sait vraiment de quoi il est question, et surtout pas de ce que cela implique. La difficulté c’est que ce sujet est si complexe, qu’il demande d’avoir des connaissances en biologie, en physiologie, en médecine, en informatique, en géopolitique, en métaphysique, etc. Il est impossible de faire le tour de la question et d’émettre un avis péremptoire et définitif, juste en survolant les multiples aspects et les répercutions de ce sujet. Nous n’avons donc pas la prétention ici, d’avoir fait le tour de l’affaire. Tout au plus, d’ouvrir la réflexion, y compris et surtout sur les points occultés volontairement ou par ignorance, par les chantres de cette… « aventure »… dans tous les sens du terme…

Symbole du transhumanisme
 
Déjà, ce symbole « h+ » est tout un… symbole : il est question d’homme ou d’humain plus !
On annonce la couleur, il est question d’améliorer l’humain, de faire un surhumain, un superman.
Présenté comme ça, outre l’aspect aventureux et prétentieux, c’est assez vendeur.
Ainsi, pour le magazine « Humanoïdes » (1), le transhumanisme va vers plus d’humain… S’ils le disent…

L’hybridation homme-machine aurait-elle déjà commencé ?

La « Singularity University », fondée par l’informaticien Ray Kurzweil, en Californie, est un établissement privé, financé par Google et la Nasa. Il ne délivre pas de diplômes officiels, mais passe la bonne parole transhumaniste à des chefs d’entreprise, chercheurs et autres pontes.
Kurzweil, qui est par ailleurs membre du conseil d’administration du Massachusetts Institute of Technology, l’un des plus célèbres centres de recherches du monde, et membre de l’Army Science Advisory Board, est chargé de conseiller l’armée US dans les domaines scientifiques et techniques. Parmis eux, il y a aussi le philosophe suédois Nick Bostrom, fervent de la pensée transhumaniste. Il publie des papiers prônant sérieusement la sélection des embryons pour augmenter les capacités intellectuelles de l’être humain dans les 50 ans à venir. Il dirige le Future of Humanity Institute, créé en 2005 par l’université d’Oxford. Il faut y ajouter, Kevin Warwick, professeur de cybernétique à l’université de Reading en Grande-Bretagne. Warwick se proclame « premier cyborg de l’histoire ».
Vous voyez, tous ces adeptes du transhumanisme, dotés d’un haut niveau de formation et tenant des raisonnements élaborés, sont des pontes dans leur domaine. Ces gens ont une longueur d’avance sur le sujet, et l’on ferait bien de les surveiller si l’on ne veut pas voir disparaître l’espèce humaine…

Voir disparaître l’espèce humaine… vraiment ? 

Kevin Warwick a écrit un livre qui commence par : « Je suis né humain par accident ». Il pense que l’Homo sapiens est imparfait, mais que demain les technologies lui permettront de pallier ces imperfections et d’atteindre l’immortalité ou presque. Bref de sortir de la condition humaine ! Très bientôt, affirme-t-il, il y aura des gens implantés, hybridés avec des machines diverses et ceux-ci domineront le monde. Les autres qui ne le seront pas, soit par choix, soit par manque de moyens, ne seront pas plus utiles que nos vaches actuelles gardées au pré parce qu’elles nous donnent du lait. C’est sympathique pour les vaches… et ce n’est pas une perspective réjouissante ! Au-delà de l’outrance, la force de conviction de Warwick réside dans sa capacité à payer de sa personne pour appuyer ses dires. Son parcours d’ingénieur l’a poussé à devenir son propre cobaye. Il a commencé en 1998 par se faire implanter une puce RFID en sous-cutané. Cette expérience, dite « Cyborg 1 », était symboliquement importante, mais un peu gadget : dès qu’il passait la porte de l’institut, une voix féminine lui susurrait « Good morning, Professeur Warwick ! », et la machine à café se mettait en route. Mais cela n’allait pas beaucoup plus loin.
Alors, quatre ans plus tard, il a tenté « Cyborg 2 » : un chirurgien a connecté une puce au nerf médian de son avant-bras. L’opération a duré deux heures et demie. Grâce à elle, plusieurs étapes étaient franchies : Warwick pouvait notamment commander à distance une main électronique dotée de capteurs de pression, avec laquelle il réussissait à manipuler un œuf sans le faire tomber ni le broyer. Y compris lorsqu’il n’était pas dans son labo, mais de l’autre côté de l’Atlantique, grâce à Internet !
Il a également installé des capteurs à ultrasons sur sa casquette. Et il se promenait les yeux bandés dans les bureaux sans se cogner, grâce aux informations que les capteurs transmettaient à sa puce.
D’une certaine façon, il a ainsi développé un « sixième sens » : un système d’écholocalisation, comme les chauves-souris. Il affirme aussi avoir communiqué par télépathie avec sa femme, elle aussi implantée. Mais nous ne sommes pas certains que le message était très élaboré, probablement plus de l’ordre du partage d’impulsions nerveuses que de la vraie transmission de pensée.
Reste que Warwick a fini par enlever sa puce ! Il avait tout de même un peu peur des risques sanitaires, et avec raison. L’opération a duré cinq heures cette fois-ci, tant les tissus s’étaient refermés sur la puce. Mais cela ne l’a pas rebuté. Son désir est désormais de se faire implanter une puce dans le cerveau. Il n’a pas encore osé. Mais assurément ses expériences ont ouvert une brèche.

L’hybridation homme-machine est pour demain

En fait, elle a déjà commencé ! Avec les « Google glass » par exemple, qui ne sont pas implantables (pour l’instant), mais qui nous font évoluer dans un monde à la « réalité augmentée ». Tous ces dispositifs et autres interfaces homme-machine, qui arrivent sur le marché, permettent de vivre, au moins en partie, par avatars interposés. Et même de faire l’amour à distance grâce à des casques orgasmiques ou des sex-toys connectés ! Cela fait rêver, non ? Une société comme ça, c’est le pied ! Comme quoi, on croyait que le monde actuel était le summum de la merdasse, eh bien non, avec le transhumanisme, on peut encore faire mieux... enfin pire... Si, si, c’est possible, la preuve...
Sans compter qu’à l’autre bout de la chaîne, on tend à humaniser les robots, en leur couplant des neurones humains, par exemple. Les systèmes de représentations sont en train de changer. Le monde économique l’a très bien compris.

On mélange tout

Comme pour la puce RFID implantée, ne nous sont présentés que des aspects alléchants, souvent proches du gadget, mais sans voir tous les tenants et aboutissants. C’est surtout encore annoncé comme un fait établi, inéluctable. Une évidence imposée, sans jamais en débattre et nous demander seulement notre avis.
Pour un traitement, une prothèse, c’est une chose. Améliorer un malade ou un handicapé, n’est pas en faire un « humain plus », mais un humain plus proche de l’état de bonne santé ou des bonnes capacités, moins malade et moins handicapé.
Alors qu’augmenter, remodeler, dénaturer… un humain « normal », c’est le changer artificiellement, pour des raisons arbitraires, en ne voyant qu’un aspect de cette transformation.
- L’étape « prothèse orthopédique » de remplacement est un vrai plus… a priori
Par exemple, la prothèse Transhumérale est un membre artificiel qui remplace un bras manquant au-dessus du coude. Les amputés de Transhumeral éprouvent certaines difficultés en raison des complexités liées au mouvement du coude. Ceci rend ardu le mouvement correct du bras.
Impossible de ne pas admirer ces prothèses élaborées, et bien utiles pour les amputés.
Même si d’autres méthodes plus naturelles semblent être négligées, si ce n’est sabotées.
Ainsi, Priore, ce technicien bordelais, d’origine italienne, qui, avec sa machine, pouvait faire état de succès dans le domaine de la régénération d'organes non génétiquement programmés pour le faire. C’est le cas pour des testicules de lapins, une étude ayant fait l’objet d’une communication à l'Académie des Sciences (2). Il en est ainsi également, de l’utilisation des cellules souches pour régénérer la peau, le cœur, les articulations, la cornée, voire faire repousser une dent !
Mais évidemment, à cette voie naturelle, est privilégiée une voie artificielle, beaucoup plus lucrative, mais aussi beaucoup dommageable pour l’intégrité humaine…

- L’étape prothèse d’assistance complémentaire, dite exosquelette
Elle peut représenter un vrai espoir pour les paralysés, même si, là encore, les méthodes naturelles avec les cellules souches n’avancent pas. Il en est de même avec le Neuro-gel (3), dont Il semble que la découverte de ce chercheur français, le Dr Stéphane Woerly, spécialiste en neurochirurgie expérimentale, permettant à la moelle épinière de se régénérer, soit au point mort quant à sa diffusion. Ce procédé est « victime de la convoitise d’établissements financiers »... En attendant, les malades regroupés en association demandent des essais cliniques…

- Puis vient l’étape « prothèse » des exosquelettes militaires… of course !
XOS 2 (Raytheon Sarcos) aux USA, est un exosquelette militaire pour aider les soldats à porter des vivres, des munitions ou encore déplacer des missiles... Son fabricant joue la carte Iron Man pour lui donner une image cool, malgré son utilisation exclusivement militaire. XOS 2 a été présenté au public en 2009. D'après army-technology.com, une version opérationnelle de XOS est entrée dans l'armée US en 2015.

Toutes les dérivent sont possibles, en voici deux toutes récentes

- Des chercheurs étasuniens sont parvenus à développer un implant qui permettrait aux cerveaux handicapés d’encoder des souvenirs. La découverte est présentée comme un espoir pour les patients atteints de la maladie d’Alzheimer ou pour les soldats blessés, incapables de se souvenir de leur passé récent. Concrètement, le processus implique une robotisation des patients : la découverte sur laquelle des chercheurs travaillent depuis une décennie inclut en effet un petit jeu d’électrodes implantées directement dans le cerveau.
- Des chercheurs de l’Université de York se sont penchés sur la manière dont le cerveau résout les problèmes idéologiques abstraits… dans le but de modifier ses réponses. Les exemples qu’ils ont pris ont déjà de quoi frapper l’opinion : ils affirment pouvoir changer l’idée que les gens se font de Dieu ou des migrants, riens de moins. Il suffit pour cela de magnétiser les cerveaux, assurent-ils…

Au fait, un humain, c’est quoi ?

Un humain est un être incarné, donc dans un corps de chair et de sang, lequel corps est géré par un système neuro-hormonal, sous l’impulsion de l’ADN. Alors, qu’est-ce qui constitue cet être incarné ?
Le corps physique n’est en effet qu’un outil biologique, utilisé par un esprit. La personnalité est le résultat de données d’ADN, d’un ego, d’une âme divine et d’un vécu.
En réalité, si l’humain est d’abord un esprit, un être immatériel, il est déjà immortel.
Car la vieillesse et la mort du corps, ne sont pas une maladie, mais une programmation génétique.
Le mode de vie accélérant le vieillissement et diminuant l’espérance de vie, aucun transhumanisme ne saurait nous dispenser de mener une vie saine et naturelle.
Le transhumanisme ignore délibérément ces notions, pour ne rester qu’au niveau matériel, même pas au « simple » niveau biologique.

Il y a tellement d’argent à se faire…

…que Google, la NASA, Apple, IBM, Honda, Sony... sont les tenants du transhumanisme pour « le bien de l’humanité ».
Les motivations sont pourtant bien loin de la recherche du bénéfice pour l’humanité, et encore moins d’une démarche spirituelle.
Car avant de vouloir augmenter les capacités et les pouvoirs humains artificiellement, il faudrait peut-être déjà cesser de les entraver et de les réduire :
- À coup d’aluminium dans les vaccins, ou dans l’eau et dans l’air
L’aluminium se comporte comme un métal lourd. Il est impliqué, sans aucun doute possible, dans la myofasciite à macrophages (MFM). La MFM est une nouvelle affection concernant l'enveloppe des muscles (inflammation, voire nécrose). Cela se traduit par une grande fatigue chronique, due au fait que l'organisme s'épuise à lutter en permanence contre lui-même.
Mais cela va jusqu'aux maladies auto-immunes gravissimes comme la sclérose en plaques. Histologiquement, on observe le développement d’inflammations chroniques locales et de granulomes infiltrés par des lymphocytes et des macrophages. Les macrophages sont envahis par une matière étrangère composée d’aluminium et d’oxygène, suggérant une réparation fibreuse anormale des tissus conjonctifs. L’aluminium se fixe dans les ganglions, mais aussi dans le cerveau, et n’en ressort jamais. C’est ainsi qu’il est directement lié à la maladie d’Alzheimer.
- À coup de mercure vaccinal ou dentaire…
Voici l’avis du corps médical ayant étudié la question : « Si vous injectez du Thimérosal (mercure) (4) à un animal, son cerveau sera perturbé (deviendra malade). Si vous le mettez en contact avec du tissu vivant, les cellules mourront. Si vous le mettez dans une boîte de pétri, la culture meurt. À la lumière de cette information, il serait choquant d’injecter ce produit à un bébé (vaccins) en espérant ne pas provoquer de dégâts. ». Pr Boyd HALEY, Université du Kentucky
« Cette étude fournit les preuves épidémiologiques d’un lien entre l’augmentation des taux de mercure dû aux vaccins qui contiennent du Thiomersal, les troubles neurologiques du développement et les maladies cardiaques aux États-Unis. ». Dr Mark Grier, M.D., PhD.
« Le mercure est l’une des substances les plus dangereuses que l’on connaisse. Le mercure ne devrait figurer dans aucun vaccin, pour qui que ce soit, à quel âge que ce soit. ». Dr Richard Halvorsen, M.D.
- Il faudrait encore cesser d’entraver délibérément les pouvoirs naturels de l’humain à se défendre
C’est ainsi que le pouvoir du GcMAF de guérir les maladies modernes est contré par la Nagalase.
Le GcMAF n’est pas d’un médicament miracle, cette substance fait seulement partie du système immunitaire humain. Le GcMAF aurait la propriété d’activer les cellules appelées macrophages. Ce sont ces cellules qui peuvent détruire les cellules cancéreuses, ainsi que les virus. Le GcMAF permettrait également de traiter et souvent de guérir complètement l’autisme. Le lien entre le cancer et l’autisme, c’est précisément le GcMAF. Or, la capacité de GcMAF d’accomplir son action peut être bloquée par la présence d’une protéine appelée Alpha-N-acétylgalactosaminidase ou Nagalase (5). Elle bloque donc les possibilités du GcMAF de lutter contre le cancer et l’autisme.
La Nagalase est produite par toutes les cellules cancéreuses et les virus (hépatite B, hépatite C, grippe, herpès, Epstein-Barr, et autres). Quand une personne souffre d’un cancer ou d’une infection virale, les taux de Nagalase augmentent. Ils peuvent aussi être mesurés pour pouvoir déterminer le niveau de l’activité virale ou d’évolution d’un cancer. La Nagalase bloque la production de GcMAF, empêchant le système immunitaire de faire son travail. Les macrophages restent cependant présents dans le corps, mais la Nagalase bloque leur activité. Cela signifie que le cancer et les infections virales peuvent se développer sans contrôle, étant donné que les macrophages ne sont plus actifs.
Nous savons aussi que les taux de Nagalase sont élevés chez les enfants atteints d’autisme. Si les enfants autistes ne souffrent ni de cancers ni d’infections virales, quelle est la source de leurs taux élevés de Nagalase ? Si la Nagalase n’est ni produite par ces cellules cancéreuses ni par des virus, comment dès lors la retrouve-t-on dans les corps de nourrissons ou de jeunes enfants ? Réponse : la Nagalase est un ingrédient des vaccins. Le Dr Bradstreet et d’autres chercheurs médicaux alternatifs en sont arrivés à comprendre que la Nagalase est introduite dans le corps des personnes qui reçoivent des vaccins. Chez un faible pourcentage de ces personnes, il n’y a pas de suppression du système immunitaire. Cependant pour la majorité des personnes on retrouve cette dangereuse suppression du système immunitaire qui ouvre la porte au cancer et à l’autisme.
- Il faudrait peut-être encore et toujours cesser de les entraver à coup de fluor :
Le fluor (6) est un répressif majeur des fonctions intellectuelles. Ajouté aux réserves d'eau et aux dentifrices, le fluorure de sodium est un ingrédient commun aux poisons pré­parés à l'intention des cafards et des rats, aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques et aux gaz neuro­toxiques. C'est l'un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique Sarin, qui fut employé au Japon dans l'attaque du métro. Des preuves scientifiques indépendantes montrent que le fluor provoque des troubles mentaux variés et rendent les gens stupides, dociles et serviles, en plus de diminuer la longévité et d'endommager la structure osseuse. La première utilisation du fluor dans l'eau potable date des camps de concentration NAZIs, grâce à la I.G. Farben, société pharmaceutique géante notoire. C'est elle qui dirigeait des camps comme Monowitz-Buna (Auschwitz III), un sous-camp dépendant d’Auschwitz. Elle existe encore, elle fait partie intégrante de la compagnie allemande BAYER-Monsanto. Quelqu'un pense-t-il que les NAZIs firent cela parce qu'ils se sentaient concernés par la santé des dents de leurs prisonniers ? Cette médication massive des réserves d'eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s'assurer de leur docilité.
- Et nous ne parlons pas de la pollution électromagnétique, de l’empoisonnement chimique et des OGM, etc., etc.
Bref, un peu de cohérence, l’humain a des pouvoirs naturels extraordinaires, qui ne sont pas valorisés ni développés. Ses capacités à résister au froid, à la douleur, à jeûner, son endurance, sa faculté à calculer… ses possibilités sont tellement nombreuses ! Et elles semblent parfois sans limites.
Sans oublier ses capacités à avoir des émotions, des sentiments, notamment l’empathie, celle à s’émerveiller… et l’apothéose, le sentiment d’Amour, pur, unilatéral, sans rien attendre en retour !
Et que pensez-vous qu’il adviendra si, au lieu de développer la sagesse humaine, la spiritualité, on augmente artificiellement, les pouvoirs pratiques de l’humanité, en l’état actuel de la situation ? C’est simple, prenez le dernier journal télévisé. Pas besoin d’en choisir un spécialement, car depuis qu’ils existent, c’est toujours la même litanie de guerres, de meurtres, d’attentats, bref, d’atrocités, de misère, d’horreurs… Vous pensez que procéder de cette façon sera vraiment un « plus » pour l’humanité ?
En vérité, les militaires utiliseront ces nouvelles capacités pour faire plus vite, plus d’horreurs, et augmenter ainsi le pouvoir d’autodestruction des humains.
C’est déjà le cas avec la méthamphétamine, à l’origine de la potion magique de Daech. Le captagon, drogue utilisée par les militants de l’organisation État islamique, serait produit en Bulgarie, dans un laboratoire de l’OTAN, et permettrait d’enlever tout sentiment d’empathie, et ainsi d’égorger son frère en riant ! C’est pas beau le transhumanisme à la sauce captagon ! À moins que plus (+) de guerres, plus de misères et d’atrocités soit considéré comme un avantage ? Si c’est le cas, il reste à savoir : « Un avantage pour qui ? ». En posant la question, on donne une partie de la réponse…

Comme avec la puce RFID implantée, les vraies motivations sont autres

La réalité, c’est que l’humain, avec son âme, ses sentiments, ses émotions, son potentiel de révolte, est devenu de plus en plus ingérable. Alors que la technologie, dont singulièrement l’informatique, permet désormais de produire des robots plus performants, contrôlables et gérables à souhait.
Par contre, la reproduction biologique (à présent, scientifiquement contrôlée) à partir d’humains, est très pratique. La marchandisation des bébés est d’ailleurs très avancée aux USA (7). L’eugénisme tant décrié lorsque les NAZIs l’employaient, est à présent chose courante. On peut choisir son bébé comme on choisi les options de sa voiture.
La tentation est grande de mixer les deux, en transformant, en augmentant et en améliorant les performances humaines, tout en réglant son compte à l’aspect ingérable de... l’humain.
Sauf qu’une construction sous forme de cyborg, avec les avantages des robots et des humains, sans les inconvénients des deux, reviendra à terme à la disparition pure et simple de l’humanité telle qu’on la connaît, avec ses travers, mais aussi avec ce qui fait la distinction entre “humain” et “inhumain”.

Pour Ray Kurzweil, le pape du transhumanisme, il n’y a aucune ambiguïté

L’ingénieur en chef de Google, l’affirme : « D’ici 2029, l’intelligence artificielle dépassera celle de l’humain… Nos corps deviendront de moins en moins biologiques. Nos composants biologiques n’auront plus beaucoup d’importance. Nous pourrons mettre notre esprit dans un ordinateur… »
Notre esprit pourra donc être sur des serveurs de Google, et connecté à un robot non biologique.
Cela ne vous rappelle pas un certain Terminator ? Et le réalisateur, James Cameron, n’a-t-il pas aussi réalisé Avatar ? C’est bien de la fin de cette Humanité telle qu’on la connaît, dont il est question…
Oui, nous répétons, car c’est énorme, les gourous du transhumanisme ont bel et bien prévu et organisé un plan effrayant, qui conduira ni plus ni moins à la FIN DE NOTRE HUMANITÉ !

Robotique ou philosophie ?

Le transhumanisme tend donc à rendre les humains actuels has been, est à en faire des cyborgs totalement dépendants et contrôlables à souhait, ne maîtrisant plus leur « vie ».
Le tout est de savoir si l’être humain se caractérise par des performances physiques et intellectuelles, ou si les valeurs de liberté, d’indépendance, de libre arbitre, de spiritualité et de grandeur d’âme prévalent. Si c’est le cas, comme nous le pensons, on peut dire que le transhumanisme ne revient pas à faire des surhumains, mais bel et bien des sous-humains, et même à terme, des non-humains !
Une fois réduit à l’état de machine, on pourra dire alors que « l’humain » est un objet comme les autres...

Paragraphe 6

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